Les soldes déçoivent les commerçants montpelliérains

Malgré des résultats plutôt corrects de l’enquête de la CCIT (Chambre de Commerce et d’Industrie Territoriale), la déception prédomine auprès des commerçants montpelliérains après les soldes d’hiver 2011.

D’un côté, les chiffres, pas si mal. La CCIT (Chambre de Commerce et d’Industrie Territoriale) de Montpellier le dit : 60% des commerçants disent avoir vécu une période de soldes d’hiver 2010 meilleure ou aussi bonne que l’an passé. Donc, 40% moins bien, c’est logique.

Pourtant, c’est plutôt une sorte de morosité ambiante – tout comme au niveau national, d’ailleurs – qui semble prendre le pas. « Les professionnels observent qu’ils ont très vite démarré mais qu’ils se sont vite essoufflés au bout de quelques jours, » relève Jean-Marie Sevestre, le vice-président commerce de la Chambre.

 

2. L’enjeu des soldes flottants

Lequel avance une explication au Midi Libre : « Il faut réduire la durée des soldes à 3 ou 4 semaines, pas plus. Il faut aussi s’interroger pour savoir si les soldes sont toujours pertinentes, vu qu’il y a maintenant des soldes flottants. Les gens sont perdus. »

36% des commerçants seulement comptent d’ailleurs utiliser ces deux semaines de soldes flottants, 61% ne pensant pas le faire. A signaler enfin que le stock d’invendus supérieur à la moyenne, signe s’il en est que la période n’était pas des plus roses pour les commerçants. Malgré les chiffres…

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Journaliste de formation, j'occupe actuellement la fonction de rédacteur au sein du réseau des sites Internet de services aux entreprises du groupe Libbre. Je peux justifier d'une expérience de six ans dans la presse quotidienne angevine au sein de trois quotidiens : la Nouvelle République, Ouest-France puis le journal majoritaire en Maine-et-Loire : le Courrier de l'Ouest (2007-2009).

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